J’ai connu Stanley Fischer dans toutes nos réunions internationales , et notamment à la Banque des règlements internationaux (BRI) jusqu’à fin 2017.
C'était un grand économiste qui avait formé au MIT des générations de banquiers centraux.
Mais c’était aussi un homme d’action, qui - au Fonds monétaire international (FMI) auprès de Michel Camdessus devenu son ami, puis à la Banque d’Israël et à la Fed, - a lutté contre l’inflation et l’instabilité, et ainsi pour la justice.
C'était surtout un homme ouvert et chaleureux, qui croyait au dialogue et à l’échange des idées : son exemple doit nous rester.