L’économie totale de la zone euro
L’épargne nette de la zone euro a augmenté pour s’établir à 861 milliards d’euros (7,0 % du revenu disponible net de la zone) sur la période de quatre trimestres s’achevant au deuxième trimestre 2025, après 857 milliards sur la période de quatre trimestres s’achevant au trimestre précédent.
L’investissement non financier net de la zone euro a augmenté pour s’établir à 545 milliards d’euros (4,4 % du revenu disponible net), principalement en raison de la hausse des investissements des sociétés non financières (cf. graphique 1 ci-dessous et tableau 1 en annexe).
La capacité nette de financement de la zone euro vis-à-vis du reste du monde a diminué, ressortant à 348 milliards d’euros (après 389 milliards d’euros sur la période de quatre trimestres s’achevant au trimestre précédent), ce qui reflète une augmentation de l’épargne nette moins importante que celle de l’investissement non financier net. La capacité nette de financement des sociétés non financières a diminué, revenant de 158 milliards d’euros à 99 milliards (0,8 % du revenu disponible net), tandis que celle des ménages a augmenté, passant de 592 milliards d’euros à 597 milliards (4,8 % du revenu disponible net). La capacité nette de financement des sociétés financières est restée globalement La capacité nette de financement de la zone euro vis-à-vis du reste du monde a diminué, ressortant à 348 milliards d’euros (après 389 milliards d’euros sur la période de quatre trimestres s’achevant au trimestre précédent), ce qui reflète une augmentation de l’épargne nette moins importante que celle de l’investissement non financier net. La capacité nette de financement des sociétés non financières a diminué, revenant de 158 milliards d’euros à 99 milliards (0,8 % du revenu disponible net), tandis que celle des ménages a augmenté, passant de 592 milliards d’euros à 597 milliards (4,8 % du revenu disponible net). La capacité nette de financement des sociétés financières est restée globalement inchangée, à 93 milliards d’euros (0,8 % du revenu disponible net). Le besoin net de financement des administrations publiques a diminué, apportant une contribution moins négative (– 442 milliards d’euros, – 3,6 % du revenu disponible net) à la capacité nette de financement de la zone euro.